Nous ne résistons pas à l'idée de partager avec vous, quelques anecdotes croustillantes en matière d'immobilier. Regardez cette annonce...
Pour une annonce immobilière, c'est ce que l'on appelle une annonce immobilière pas très vendeuse.
peut être que les propriétaires ne voulaient pas que l'on reconnaisse l'intérieur de l'appartement, d'où le flouté, remarquable travail à la Hamilton...
« Friends », « l’auberge espagnole », « ensemble c’est tout », autant de films vantant l’image de vies, et d’appartements, bien remplis ! Que cela soit par nécessité ou par envie, dans les grandes comme dans les moins grandes villes, ce mode de vie a su conquérir la France : Étudiants, divorcés, salariés, et même retraités, tout le monde s’y met !
Véritable alternative à la pénurie de biens en location et à l’explosion des prix des loyers, la colocation entraine de nombreux avantages. Payer moins pour vivre dans un appartement plus spacieux, cela a de quoi convaincre !
Juste une question d’argent ? Non pas seulement ! Le phénomène de colocation s’est étendu bien au-delà des simples étudiants désireux d’alléger leurs factures. En effet dans ce monde de plus en plus tourné vers la technologie, les gens ressentent le besoin de se sentir entourés et de partager une expérience de vie avec les autres. La colocation est une alternative à l’isolement et l’occasion de vivre une expérience unique tout en rencontrant des gens.
Certaines personnes âgées ont elles aussi étés conquises par ce mode de vie. Volonté de partager, de briser la solitude, d’avoir une meilleure qualité de vie, ou simplement d’être rassuré : la colocation sénior ou intergénérationnelle est aujourd’hui devenue une alternative aux maisons de retraites.
D’après des études, 62% de la population pense que la colocation est un mode de vie convivial et attirant. Cependant, même si les avantages sont nombreux la colocation peut faire peur : Tant sur le plan juridique que social, s’entendre et s’organiser avec des inconnus n’est pas forcément évident.
Pour remédier à cela, les sites de colocation comme "appartage", "ma-colocation" ou encore "e-colocation", se multiplient pour faciliter les rencontres et trouver les colocataires parfaits! Pour s’inscrire de nombreuses informations sont à donner : Sexe, fumeur ou non, age, orientation sexuelle, situation sociale, hobbies, cela ressemble presque à un site de rencontre, mais c’est en fait un vrai supermarché des colocataires pour choisir des personnes qui se ressemblent et qui pourrons vivre ensemble dans les meilleurs conditions.
Véritable phénomène social, la colocation a pris son envol en France, et tout est aujourd’hui organisé de manière à ce qu’elle se déroule dans les meilleurs conditions : il ne reste plus qu’à se lancer !
Le premier samedi du mois d'octobre, Homelike Home était présent sur le salon Bloom -présentant une foule de services aux anglophones fraîchement arrivés à Paris- dans le très beau cadre de l'Eglise Américaine, quai d'Orsay.
Linda, notre chargée de recherche américaine, avait préparé un stand qui a fait son p'tit effet ("it is soooooo pretty!"), rose pimpant au milieu de tables nappées de bleu-blanc-rouge!
Parler recherche immobilière en dégustant des bagels au cream cheese, voilà qui nous a bien plu: nous y serons l'année prochaine!
"Version définitive de la réforme" disions nous, pas tout à fait !
Mercredi 12 octobre, seulement un mois après son instauration, la loi sur la taxation des plus-values immobilière a été adoucie.
L'exonération est rétablie pour les Français non propriétaires de leur résidence principale qui font une plus-value en vendant pour la première fois une autre résidence.
Pour en bénéficier la cession doit être réalisée au moins 5 ans après l'achat du bien concerné et 2 ans après la cession de la dernière résidence principale (sauf si la cession est motivée par un changement dans la situation personnelle, familiale ou professionnelle).
Affaire à suivre...
La 17eme édition du salon de l’immobilier qui se tenait le week end dernier à Paris a eu une importance toute particulière en cette période compliquée pour l’immobilier ! Outre les futurs acheteurs et vendeurs, de nombreux particuliers y sont venus pour trouver des réponses à leurs questions : Faut il vendre/acheter ? Quand ? Et à quel prix ?
La conférence sur l’état actuel du marché à Paris donnée par la Chambre FNAIM Paris IDF à été l’occasion pour beaucoup de mieux comprendre la situation.
Les conférenciers ont bien tenu à préciser que pour eux il n’y a pas de bulle immobilière. Le marché parisien connait cependant des nombreuses disparités par arrondissement, et même par quartier.
Le remaniement des dispositions réglementaires et fiscales entraine par ailleurs un afflux de bien sur le marché qui devrait, selon eux, durer jusqu'à fin octobre (date jugée limite pour un compromis de vente pour bénéficier de l’ancien régime de taxation) puis se régulariser. Cette hausse de l’offre ne se conjugue pas forcement avec des conditions intéressantes pour l’achat car ces ventes faites dans la précipitation s’accompagnent de conditions particulières (locataires encore dans les lieux par exemple) et les vendeurs ne sont pas près pour autant à baisser leurs prix. Cette hausse d’offre, face à des acheteurs méfiants (37% des français pensent que la conjoncture n’est pas favorable), entrainera selon eux une stagnation, voir une diminution des prix.
Le marché parisien est par ailleurs toujours difficile pour les primo accédants (seulement 15% des acquéreurs a Paris) à cause des prix très hauts.
La conclusion des conférenciers : nul ne peut exactement vraiment savoir ce que va faire le marché dans les prochains mois mais l’immobilier Parisien restera une valeur sure (un nombre délimité de produits pour une ville qui attire des investisseurs et des acquéreurs dans le monde entier). Les deux pièces étant en ce moment les produits phares, très prisés par les investisseurs.
C'est le cri de joie du jour! En effet, nous n'avions pas eu un tel volume d'annonces à passer au crible depuis.... bien longtemps!
L'immobilier ferait-il sa rentrée?
Et si oui, pourquoi maintenant?
Mises sur le marché massives de résidences secondaires, par des vendeurs craintifs des nouvelles mesures fiscales applicables en 2012? (article à venir...)
Ou fin d'une bulle immobilière, avant une chute des prix? (autre article à venir :-).....)
En attendant les réponses.... profitons de cette offre toute fraîche et au boulot!!!
On nous demande souvent de trouver des appartements avec terrasse à Paris. Pas facile car les terrasses sont souvent bruyantes et donc difficile d'avoir une discussion avec ses amis, ou bien avec du vis à vis, et à ce moment là, vous partagez votre dîner avec vos voisins !
On vous a trouvé deux terrasses exceptionnelles situées dans le 5ème et le 14ème arrondissement de Paris...et en plus pas n'importe quelle terrasse car les terrasses mesurent chacune 40 et 60 m2
Ne rêvez pas car ces terrasses restent rares et donc difficiles à trouver, mais elles existent, la preuve en images...
En me promenant dans le 5ème arrondissement pour une nouvelle recherche d'appartement bien entendu, je suis tombée nez à nez avec une agence immobilière qui n'a pas suivi les dernières tendances en matière de décoration et de relooking de vitrines...regardez plutôt
Il faut dire qu'il y a de nombreuses boutiques et commerces un peu désuets dans ce quartier, pourtant très prisé de Paris. Je vous ferai découvrir d'autres vitrines dans les prochains jours au fil de mes recherches.
La réponse est malheureusement non.
Le dernier rapport des Notaires, datant de fin juillet, indique une hausse des prix toujours régulière (1,6% en avril, 1,4% en mai) ce qui porte à +22,7% la hausse annuelle de mai 2010 à mai 2011. Et ce, sur un rythme d'activité stable (avec même une légère hausse du nombre de ventes, +5% de mars à mai 2011 vs la même période en 2010, en Ile de France)
Le Figaro Economie indiquait fin juillet que la hausse des taux (passés en moyenne de 3,22% en octobre 2010, à 3,9% fin juin 2011), n'avait en rien freiné l'engouement des français pour la pierre. L'augmentation des mensualités est en partie gommé par l'allogement des durées de prêt, mais surtout par l'augmentation continue de l'apport personnel, provenant de la revente d'un bien....
Voilà qui n'est pas de très bonne augure pour la fin de l'année, quand on voit la mauvaise santé des marchés financiers!
Si la période n'est pas à la frénésie de visites -le marché étant déjà largement en vacances (ou toujours en hibernation?)- elle est en revanche à la rencontre de nouveaux clients potentiels, qui préparent le lancement de leur projet immobilier pour septembre.
Nous établissons donc des cahiers des charges (presque....) à la chaîne, et classons/déterminons/priorisons/élargissons/...... des critères de recherche.
Le plus subjectif d'entre eux? Dans le peloton de tête, probablement la notion de "vue dégagée" ou de "jolie vue"
Plusieurs termes peuvent avoir de multiples sens:
L'absence de vis-à-vis d'abord. Pour la plupart, un appart sans vis-à-vis n'a rien en face, et permet de voir très loin... (plutôt rare à Paris!). Mais pour certains, "sans vis-à-vis" signifie "sans vue sur les voisins". Certains apparts annoncés sans vis-à-vis donnent.... sur un mur! Ou sur des bureaux, donc sans "vie" en face, le soir et le week-end.
La notion de "vue dégagée" également. Quand nos clients nous parlent de "vue dégagée", ils sont en réalité prêts, trè souvent, à avoir une vue sur un immeuble, s'ils voient également le ciel. Un appartement en 5e ou 6e étage, même dans une rue assez étroite, peut donc faire l'affaire.
Un exemple de vue qui a satisfait un de nos "chercheurs" souhaitant une vue dégagée, alors que l'immeuble en face est assez proche...
Si la vue doit être "réellement dégagée", c'est-à-dire sans immeuble en face (ou avec un immeuble plus bas), la recherche se corse, et le critère devient extrêmement discriminant!
Exemple d'appart trouvé répondant à ce critère "resserré":
Et enfin, le terme "jolie vue".
Heureusement, tous nos clients ne cherchent pas une vue sur monument, ils sont même assez rares... mais en dehors des vues exceptionnelles, il n'y a pas de "jolie vue" universelle sur le marché parisien, et ce critère mérite d'être précisé.
Alors que pour des parisiens stressés, une vue sur jardin -ou même sur un seul arbre!- est un vrai bonheur, pour des chercheurs de pieds-à-terre la même vue est synonyme d'inactivité, d'inertie, à l'opposé même de la vie parisienne qu'ils sont venus chercher.
Certains rêvent d'une vue sur les toits, d'autres les détestent! ("on ne voit que des antennes, des bouches d'aération et des cheminées tordues!").
Petit medley de vues dégagées, depuis des apparts visités pour des clients.... à votre avis, lesquelles ont fait mouche?