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Les abeilles s'installent en ville!

Après notre article sur les potagers suspendus, sachez que les toits parisiens accueillent aussi des ruches.

L’un ne pouvant aller sans l’autre, puisque les abeilles ont besoin de plantes fleuries pour fabriquer du miel et se nourrir, et nos plantes ont besoin des abeilles pour se reproduire. Un chiffre à retenir et qui fait froid dans le dos : les abeilles contribuent à plus de 80% à la pollinisation des espèces végétales !!! donc sans abeille, pas de pollen et sans pollen pas de beaux végétaux, fleurs colorées...

 

Paris accueille environ 300 ruches, comme par exemple sur le toit de l’Opéra Garnier, celui du Grand Palais, Notre Dame de Paris, dans le parc Georges Brassens, le Jardin du Luxembourg, le parc Monceau, le parc Floral…, mais aussi sur des toits d’entreprises.

Le nombre d’abeilles dans la capitale ne cesse de croître. Des associations vous proposent le parrainage de ruches , comme par exemple un toit pour les abeilles.

 

Mais pourquoi des abeilles à Paris ?

Parce qu’il semblerait qu’elles se plaisent en ville.

Les températures y sont agréables, il y a une grande diversité de plantations, il n’y a pas de pesticides.

Les ruches en ville produiraient même plus de miel que les ruches à la campagne (en moyenne, 30 kg de miel par ruche contre 20 kg à la campagne).

Le miel de Paris est très bon, et c’est même une ruche parisienne du jardin du ruisseau qui a remporté le concours des miels d’île de France en 2010.

Vous pouvez déguster le miel parisien à l’occasion de la fête du miel qui a lieu chaque année fin septembre/début octobre au Jardin du Luxembourg et au Parc Georges Brassens.

Ces nombreuses ruches urbaines permettent aussi de sensibiliser la population sur l’importance des abeilles. Les apiculteurs proposent de nombreuses animations pédagogiques.

 

Les abeilles en danger ?

Malheureusement les abeilles se portent de plus en plus mal, et chaque année, c’est 30 % leur population qui disparait en France, et cette surmortalité touche le monde entier.

Cette mortalité semble due à de nombreux facteurs comme l’utilisation à grande échelle de pesticides, les infections parasitaires, la réduction des ressources alimentaires et des habitats, le changement climatique…

 

 

Dans certaines régions de Chine, les abeilles ont complètement disparu. Les agriculteurs doivent alors polliniser leurs cultures à la main pour avoir des récoltes. Ceci est décrit dans le documentaire "Des abeilles et des hommes", sorti en 2013.                                                            

Les autorités commencent à prendre conscience de la gravité de ce phénomène. L’union européenne a voté fin avril, la suspension pour 2 ans de l’utilisation de 3 pesticides responsables de cette catastrophe. Ceci n’est certainement pas encore suffisant, mais l’homme semble avoir compris qu’il est primordiale pour sa survie de trouver des solutions pour sauver les abeilles.

 

Si à votre échelle, vous souhaitez faire un geste pour nos abeilles, fleurissez vos fenêtres, jardins et balcons, et si vous avez un espace suffisamment grand, vous pouvez même installer une ruche sur votre toit ou dans votre jardin. Bien sûr, ceci est réglementé, vous trouverez les démarches à suivre sur le site de la ville de Paris.

 

 

 

 

 

 

Et pour ne citer qu'un seul Grand Homme qui résume bien la situation

« Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre » – Albert Einstein

...alors réfléchissons un peu et adoptons nos amies les abeilles à bras ouverts !! 

Portrait #7

Aujourd'hui, nous vous présentons Estelle, stagiaire chez Homelike Home depuis 2 mois. Ancienne "institutrice" (nous la vénérons, bien sûr :) ) - Estelle a choisi de se reconvertir dans l'immobilier, et fait une licence en alternance à l'ESI (école de la FNAIM)

Quelques années de pratique au sein de l'Education Nationale semblent préparer efficacement au quotidien de chasseur immobilier: après avoir géré des compromis entre une trentaine d'enfants par an, chacun équipés de parents, Estelle approche nos clients et leurs critères avec une certaine.... sérénité ! Sans oublier une passion évidente pour le métier, une curiosité permanente, et un enthousiasme à toute épreuve.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Estelle, en quelques mots, ton parcours ?  

Diplômée d'une maîtrise de biologie, je me suis tournée vers le métier d'enseignant, j'ai donc été professeur des écoles pendant 13 ans, j'ai fait "mes premières classes" dans l'Yonne à la campagne, puis à Lyon et enfin à Paris depuis 2007. C'est un métier passionnant, mais qui peut aussi être épuisant, je n'avais pas envie de faire cela toute une vie.

J'ai donc sauté le pas de la reconversion, j'ai choisi l'immobilier car j'ai toujours aimé l'architecture, les biens et me voici à nouveau sur les bancs de l'école, mais côté élève cette fois. Je fais une licence en alternance : "Chargé de Gestion Patrimoniale Immobilière" à l'ESI.  Je suis donc moitié à l'école, moitié en stage chez Homelike home.

     

 Comment es-tu devenue "dénicheuse d'apparts"?

 J'ai effectué un premier stage dans une agence traditionnelle, mais je m'interrogeais sur le métier de chasseur et j'avais envie d'en savoir plus. Le côté service, sur-mesure de cette profession m'intéressait beaucoup, plus que ce qu'on peut faire traditionnellement dans l'immobilier . J'ai frappé à la porte d'Homelike Home, l'équipe avait besoin d'une stagiaire, et hop je me voyais embarquée dans l'aventure. 

    

D'où viens-tu?

La région du bon vin et de la gastronomie : la Bourgogne, je viens d'un petit village viticole : Rully, située entre Chalon sur Saône et Beaune.  

   

 Pourquoi avoir choisi Paris?

J'ai eu un coup de foudre pour cette ville en y allant passer des week-end touristiques. Attirée par les grandes villes, j'ai d'abord essayé Lyon, mais j'ai toujours eu la conviction que Paris était ma ville, alors j'ai décidé de m'y installer en 2007.  Je ne regrette pas mon choix, il y a toujours mille choses à faire différentes, et même après 7 ans ici, j'y découvre tous les jours des trésors cachés.

 

 

Grâce à ton métier, tu parcours tout Paris en long, en large, et en travers.... mais si tu étais un arrondissement, un seul, tu serais.... ? 

   Je serais le 10^ème arrondissement, sûrement parce que c'est là que j'ai posé mes valises en arrivant à Paris. C'est aussi un arrondissement très central, je vais à beaucoup de concerts, et de nombreuses salles se trouvent à proximité, de ce fait, je me déplace beaucoup à pied...     

 

 

 

 

 

Et une rue en particulier?  

Restons dans le 10^ème avec la rue Sainte Marthe, une charmante petite rue toute colorée qui mène à une petite place paisible, parfaite pour siroter au soleil.

 

 

 

Si tu étais un parc ou un jardin?... 

Le jardin Catherine Labouré, un petit jardin potager caché derrière un mur austère du 7^ème arrondissement. Très agréable pour un pique-nique.
       

 

 

 

 

Une boutique?     

La petite mendigote, rue du dragon dans le 6^ème, j'adore cette marque qui fait des sacs et des chaussures et à mon grand bonheur, depuis peu, des robes!!    

 

 

 

 

Un objet déco? 

Une lampe style année 20, j'adore le design de cette époque.      

 

 

 

 

Et si tu étais un restaurant ?      
         

Difficile de faire un choix, Paris compte tellement de bonnes tables! Je choisis Chez Michel, rue de Belzunce dans le 10^ème, Thierry Breton, à la tête de ce restaurant allie avec succès Bretagne et cuisine traditionnelle française.

 

Et si tu étais un style d'appart?      

Je serais un appartement Haussmannien typique agrémenté avec du mobilier de différentes époques, avec une belle terrasse donnant sur une vue dégagée (mais malheureusement Mr Haussmann a préféré le balcon filant).

Un défi à relever pour une future chasseuse d'appartement car on sait bien que les immeubles haussmanniens avec terrasse sont très très rares sur la place de Paris !!!

 

 

De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière?....     

La recherche n'est pas encore terminée, il s'agit d'une recherche qui doit coller avec les règles du Feng Shui, pas facile mais très intéressant, beaucoup de critères entrent en jeu et je serai très fière lorsque cette recherche aboutira, c'est là encore un vrai défi.    

 

 

 

Et celle qui t'a fait le plus transpirer?

La même recherche Feng Shui, puisque l'orientation des portes d'entrées est primordiale, donc beaucoup de biens à éliminer dès la prise de mesure de l'orientation à la boussole. 

 

 

 

 

 

Qu'aimes-tu particulièrement dans ton métier?     

C'est un métier de terrain, dans lequel on bouge beaucoup, on rencontre beaucoup de monde. Chaque journée est différente, et j'aime l'excitation de la recherche qui peut parfois prendre des aspects de chasse au trésor.  

 

Et si tu devais en changer, tu serais.... ?     

Gérante d'un bar convivial dans lequel il y aurait de la bonne musique avec des concerts et surtout des soirées bingo, ma dernière passion du moment, ça n'existe pas encore à Paris, et je suis sûre que ça pourrait "cartonner".         

 

 

 

 

Allez, dernière question! Si tu devais changer quelque chose dans Paris, ce serait.... ?

Un peu plus d'espaces verts !     

Londres est arrivé à créer une grande ville aérée alors pourquoi pas nous avec le projet du Grand Paris...

 

      
     

Et si nos toits devenaient un jour notre garde-manger ?

    Ce concept venu de NYC pourrait bien se développer à Paris où de nombreuses initiatives voient le jour, et de plus en plus de citadins montrent leur intérêt pour le jardinage en ville (En France, un habitant sur trois rêve de posséder un potager Unep/Ipsos 2011).

 

 

Mais alors, comment cela se passe à NYC ?

 

En 1995, un restaurateur new-yorkais décidait de faire pousser ses propres légumes sur le toit de son restaurant : The Vinegar Restaurant.

L’expérience a été convaincante. Avec un bon rendement, il a pu alimenter son restaurant avec sa propre production, lui évitant ainsi les tournées laborieuses de ravitaillement dans le New jersey, et lui assurant des produits d’une fraîcheur absolue.

Depuis, de nombreuses expériences similaires se sont développées, et les toits verdoyants représentent aujourd’hui 20 % de la surface de la ville.

La ville accorde même des réductions d’impôts à tous ceux qui souhaitent créer un jardin sur leur toit.

 

Paris sur les traces New-yorkaises ?

 

Notre architecture française avec ses toits en pente et ses combles est moins adaptée, la règlementation est plus stricte, les immeubles parisiens sont perçus comme un patrimoine, mais malgré cela, des expérimentations voient le jour, et des jardins en hauteur commencent à émerger.

A Paris, on compte 314 hectares de toits plats. Le premier jardin suspendu a vu le jour en 2009, dans le 20^ème arrondissement, sur le toit d’un gymnase, rue des Haies, avec une surface de 600 m². Ce jardin est géré par l’association Lafayette accueil .

 

 

 

Depuis, de nombreuses start-up et associations se sont intéressées au sujet et de nombreux projets fleurissent.

 Nicolas Bel et Nicolas Marchal, de l’association Potagers sur les toits, ont créé un potager de 600 m²  sur le toit de l’école AgroParisTech, en partenariat avec l’INRA et le musée d’histoire naturel afin d’étudier la meilleure façon de développer de toits potagers légers, durables et écolos dans la capitale.

La mairie de Paris s’intéresse également sérieusement à ce concept et souhaite créer 7 hectares de toits végétalisés, ainsi qu'une quinzaine de "fermes" d’ici 2020.

 

Les avantages de ses toitures végétales ?

Bien sûr le plaisir de s’adonner au jardinage, puisque les projets mis en place offrent la possibilité aux riverains de venir cultiver leur toit, mais c’est aussi revenir à de meilleurs produits en cultivant ses fruits et ses légumes localement, cela limite le transport et difficile de faire plus frais!

Tous ces végétaux sont aussi de très bons isolants, et permettent de réduire les coûts de chauffage et de climatisation.

Les déchets organiques type épluchures peuvent être recyclés directement sur « le jardin de l’immeuble ».

La pollution peut être considérée comme le problème majeur de l’agriculture urbaine, il est important de vérifier son impact sur les légumes.

Mais selon les études de Nicolas Bel, il n’y a pas de danger pour la santé, les légumes produits en milieu urbain sont tout à fait sains.

Une bonne idée donc ces toits potagers, nous devrions en voir de plus en plus, et bientôt peut-être dans les critères de recherche de nos clients pour leur futur nid douillet !!

Portrait #6

 Pour ce 6^ème portrait, nous vous présentons Audrey (même si vous la connaissiez déjà un peu!...) Ancienne directrice artistique, passionnée de photographie, d'architecture, de tout ce qui est insolite ou caché dans la capitale, Audrey nous permet de voir Paris d'un autre oeil, grâce à son blog Et si on se promenait à Paris. Ses photos lui ont permis de gagner plusieurs concours, et certaines font même la couverture de magazines immobiliers les plus lus...Bref, voici la plus artiste de notre équipe en images !

 

 

 

 

 

 

En quelques mots, ton parcours ? 

 

J'ai bossé une dizaine d'années dans le web en tant que graphiste puis directrice artistique. 

Comment es-tu devenue "dénicheuse d'apparts" ?

 

A la naissance de ma fille, j’ai eu envie d’autre chose. J’ai commencé un blog sur Paris, où je mettais des photos de mes balades… et puis Stéphane Plaza est arrivé ! Avec son émission « Recherche appartement ou maison », c’est clairement lui qui m’a fait découvrir ce métier et donné l’envie de tester.

 

 

D'où viens-tu ?

 

Je suis Lorraine. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pourquoi avoir choisi Paris ? 

 

Comme beaucoup de monde, j’y suis venue pour les études. Je ne savais pas du tout si je m'y plairais ! Quand on vient de province, on entend toutes sortes de préjugés sur la vie parisienne du style "métro boulot dodo", "les parisiens sont des gens stressés"… Je n’y ai vu pour ma part que des bons côtés : une ville superbe à découvrir, des concerts en veux-tu en voilà, des expos... voilà 13 ans que j’y suis !

Grâce à ton métier, tu parcours tout Paris en long, en large, et en travers... mais si tu étais un arrondissement, un seul, tu serais…? 

 

Le 20^ème où je vis actuellement. J’aime mon quartier et ses petits commerces, le Père Lachaise où je vais souvent traîner… On a un peu l’impression d’être hors de Paris et c’est ça qui me plaît. Par contre, j’avoue que j’aimerais que mon quartier soit plus propre.

Et une rue en particulier ?

La rue des Thermopyles dans le 14ème. Une rue à l'esprit village comme j'aime, et elle me rappelle mes premières années à Paris, j'habitais juste en face à l’époque.

 

      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si tu étais un parc ou un jardin ?

 

Le square des Grès en plein coeur du village Saint-Blaise dans le 20ème. Il est envahi par les chats du voisinage, et par la glycine au printemps… des jeux pour les petits, et des tables de ping pong pour les grands, mais jamais bondé car peu connu. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une boutique ? 

 

Impossible de n’en choisir qu’une ! Les Fleurs, boutique incontournable pour les filles qui aiment les accessoires (passage Josset dans le 11ème), la boutique de chaussures Patricia Blanchet (rue Beaurepaire dans le 10ème), Fleux boutique déco rue Saint-Croix de la Bretonnerie, Pain d'épices, une charmante boutique de jouets du passage Jouffroy, dans le 9ème arrondissement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un objet déco ?      

 

A défaut d’avoir un porche avec une balancelle comme chez les Américains, j’aimerais avoir un jour une chaise suspendue en osier, comme une de celles-ci : 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et si tu étais un restaurant ?

 

La Petite Fabrique rue des Vignoles dans le 20ème. Un resto entièrement bio à la déco hyper sympa.

On y mange bien, l’accueil y est chaleureux, et surtout on peut se parler sans avoir à crier (ce qui devient rare à Paris je trouve).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et si tu étais un style d'appart ?

 

Un appart avec une verrière pour ne jamais manquer de lumière !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière ?

 

Une recherche qui a duré 10 mois pour une personne qui habitait en province. 

Bertrand voulait trouver un appartement lumineux, en étage élevé avec ascenseur, bien exposé, avec le charme de l’ancien, au calme, et dans une copro soignée pour y passer sa retraite. Son autre critère : pouvoir aller au Louvre à pieds.

Mon boulot a été non seulement de trouver l’appartement, mais aussi et surtout de convaincre le propriétaire qu’il s’agissait de l’appartement rêvé de mon client. Pas facile en effet de faire accepter une offre faite par quelqu’un qui n’a pas vu l’appartement.

 

      

 

 

 

 

 

 

 

 

Et celle qui t'a fait le plus transpirer ?

 

Une recherche pour une famille qui cherchait un 4 pièces avec du charme dans plusieurs arrondissements de Paris. 8 mois de recherche plus tard, je leur montre l’appartement parfait et ils m’annoncent qu’ils partent s’installer à l’étranger. #fail

Ce sont les risques du métier !

 

Qu'aimes-tu particulièrement dans ton métier ?

 

Aucune journée ne se ressemble. C’est très agréable, on fait sans cesse de nouvelles rencontres, 

 

  Et si tu devais en changer, tu serais.... ? 

 

Photographe ! 

 

 

 

 

 

 

Allez, dernière question ! Si tu devais changer quelque chose dans Paris, ce serait... ?

 

Moins de voitures, moins de gens, bref comme Paris au mois d’août ! Et un peu plus d’audace architecturale svp !

 

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Evolution des prix de l'immobilier parisien, arrondissement par arrondissement

Ces 20 dernières années, le prix/m2 parisien moyen a presque triplé (en passant de 2840 à 8140 euros/m2)

Mais nous savons bien que dans le détail, tous les quartiers n'ont pas évolué de la même façon.

 

Chez Homelike Home, nous avons vu exploser le Haut-Marais, il y a 10 ans environ, et les alentours de la rue de Bretagne et du marché des enfants rouges. Ont suivi de près le 2e arrondissement et sa rue Montorgueil, le quartier des Batignolles dans le 17e (souvenez-vous, quand il a été question d'y installer le potentiel village olympique), les abords du Canal Saint Martin dans le 10e près de République, les environs du square Trousseau et du marché d'Aligre dans le 12e....

En parallèle, nous avons vu "s'assagir" les prix - façon de dire que la hausse y a été moins exponentielle qu'ailleurs ;-) - dans le 16e arrondissement. La fameuse avenue Foch (l'une des plus chères au Monopoly!) n'a plus vraiment la côte auprès de nos clients, qui recherchent plutôt la praticité des transports, les commerces de proximité, l'animation... et de moins en moins le côté prestigieux de l'adresse.

Evolution contrastée entre les arrondissements, certes, mais dans quelles proportions?

Voici dans le détail les chiffres publiés par le magazine Capital le mois dernier, qui sont les hausses enregistrées sur 20 ans dans Paris.

On constate bien l'ascension fulgurante du centre parisien par rapport aux arrondissements plus résidentiels, ascension démarrée au début des années 2000.

Où prendre un bon petit déjeuner...

 

Pas facile de trouver où petit déjeuner dans la capitale...Bon nombres de "spots" n'ouvrent leurs portes qu'à partir de 10H voire 10H30, et c'est souvent une heure bien tardive pour un petit déjeuner professionnel.

Chez Homelike Home on a une tradition...Régulièrement toute l'équipe se retrouve autour d'un petit déjeuner de boulot, dans un nouveau lieu que l'on teste...Rien de mieux que commencer notre journée de visites d'appartements par un bon petit déj.

Alors depuis le temps que nous organisons ces petits déjeuners, on a reperé les meilleures adresses dans la capitale...et on vous les fait partager!

 

Le meilleur du meilleur du mieux que l'on ait testé est le petit dej de chez CLAUS. Mais malheureusement, succès oblige il faut s'armer de patience pour avoir de la place et réserver au moins 15 jours à l'avance. En même temps, c'est hyper central (en face d'une boutique de chaussure de prestige dont vous aurez deviné le nom !), tout est bon et frais et le service est top...alors que demander de mieux....

 

 

 

En 2ème position, Colorova, situé dans une petite rue du 6^ème arrondissement, rue de l'Abbé Grégoire. Formés à l'école Ferrandi, le Colorova propose un petit déjeuner, style brunch original et excellent. Il est devenu le QG des gourmands du quartier. C'est beau voire même excellent, la décoration douce à dominante de bois est très soignée. Rien à cacher puisque tout est bon et on peut voir le chef et son équipe travailler dans la cuisine, derrière la baie vitrée. Chez Homelike Home, on est plus que fan...

 

En 3^ème position, la Régalade Conservatoire propose un brunch dans un hôtel très agréable...On aime beaucoup la déco de ce resto signée Jean Michel Wilmotte, situé au rez de chaussée de l'hôtel de Nell. Un petit déjeuner, buffet avec des produits simples mais de grande qualité...on recommande

 

 

 

 En 4^ème position, chez Edgar, en plein coeur du sentier et à côté de notre bureau. Très franchement, on adore ce restaurant pour sa déco aux allures scandinaves, son emplacement sur une petite place digne d'un petit village de province. Ancien atelier de textile transformé en resto avec son propriétaire Guillaume qui a déjà fait ses preuves dans le marais avec son restaurant qui s'appelait "chez Guillaume", on préfère dîner ou déjeuner sur sa jolie terrasse que prendre un petit déjeuner... Le buffet n'a de nom que le mot "Buffet" car le choix reste quand même très limité pour un petit déjeuner...

 

 

En 5^ème position, le café  Pinson. Une super déco...une super rue qui monte qui monte en terme d'ouverture de restos et bars tendance. Mais là aussi, le choix du petit déjeuner est un peu limité...et surtout le service est long. Bref, un petit déjeuner sympathique mais lorsque l'on est pas pressé par le temps !

 

 

 

 

 

 

 

Et encore plein d 'autres adresses dans tout Paris : L'hotel Amour, l'Apriori thé, chez D, le petit café du Monde entier, le pain de la Bourse...

 

Mais surtout il serait grand temps que tous les autres restaurants qui proposent des petits déj alléchants dans des endroits dignes des meilleurs lieux design d'Amsterdam...ouvrent leurs portes dès 8H (max 9H) le matin pour pouvoir en profiter en conciliant plaisir et travail...

 

 

Zoom sur le 10ème arrondissement de Paris

 

Mon arrondissement d’adoption lorsque je suis arrivée à Paris, je me suis tout de suite sentie dans mon élément.

Central, cosmopolite, situé au carrefour de la Gare de l’Est et de la Gare du Nord, c’est un quartier animé, commerçant, en effervescence, qui évolue sans arrêt, regorgeant aussi de havres de paix, loin de l’agitation.

 

Quartier encore abordable en terme de logement, cependant les prix ne cessent d’augmenter depuis quelques années, et les alentours du canal ont le vent en poupe.

 

Nos bonnes adresses :

 

-          La rue du Faubourg Saint Denis remonte de la Porte Saint-Denis à la Gare de l’Est,  commerçante, en ébullition, vous y trouverez poissonniers, primeurs, bars, restaurants… différentes ambiances selon l’heure de la journée, très animée en soirée.

 

 

 

 

-          La Cour des Petites Ecuries : Passez un porche de la rue du Faubourg Saint Denis et vous arrivez dans une cour, sans voiture, où se succèdent bars et restaurants, très agréable en été car tout le monde est dehors.  La ferme de Charles  est un petit restaurant champêtre, idéal pour un brunch, et surprise, vous aurez la vue sur…une prairie…

 

 

 

-          Le 10^ème, c’est aussi le passage Brady, dédié à l’Inde, vous en découvrirez d’autres au hasard des balades, comme par exemple le passage du marché.

 

 

 

-          Faites une halte à la galerie Martel qui expose toujours des artistes de qualité.

-          Un peu plus haut, Rue de Chabrol, se trouve Pleine Mer, un restaurant qui ne paye pas de mine, mais où vous pourrez trouver, selon moi, parmi les meilleures huîtres de Paris. Le patron est aussi ostréiculteur à Cancale, il partage sa semaine entre Paris et la Bretagne et nous ramène tous les mardis sa meilleure récolte. Vous pourrez accompagner tout ça d’un petit muscadet et d’un désert local.

 

 

-          Evidemment, une balade le long du Canal Saint Martin est incontournable pour découvrir l’arrondissement, vous trouverez sur votre chemin de nombreux bars, boutiques et restaurants. Arrêtez-vous Au Comptoir Général, un lieu à part, « Guetto Museum », où vous pourrez boire des verres, dîner, bruncher ou encore participer à des « attractions ».

 

 

 

Un peu de shopping dans la rue de Beaurepaire, dédiée aux boutiques "branchées", comme Agnès B, American Apparel, mais surtout la boutique de chaussures Patricia Blanchet, ne serait-ce que pour le plaisir des yeux. J’ai découvert ces merveilleuses chaussures chez Afwosh, rue d'Hauteville, à l’époque où il n’y avait pas encore de boutique consacrée à la marque.

 

-          Mélomanes, direction le Point Ephémère, salle de concert, mais aussi bar et galerie, qui propose une programmation plutôt pop/rock, électro. Et il est très agréable en été d’y siroter une bière au bord du canal.

 

-          Envie d’aller voir un film, le Louxor a réouvert ses portes il y a un an. Ce magnifique cinéma a été fermé pendant plus de 30 ans, c’est un vrai plaisir de retrouver un cinéma de quartier. Il dispose d’une terrasse avec une vue superbe sur le Sacré Cœur. Amoureux de vieux films, une soirée cinéclub est proposée 2 mardis par mois.

 

 

-          Le théâtre des Bouffes du Nord, fermé dans les années 50, a été révouvert par Peter Brook et Micheline Rozan en 1974 avec la volonté de le laisser dans son jus. Il en résulte un lieu authentique, plein de charme. La programmation est pointue et éclectique.

 

 

       

-            L’autre côté de la rive n’est pas en reste, le quartier coloré de la Place Sainte Marthe vaut le détour, sirotez une menthe à l’eau à la terrasse de la Sardine, puis faites un tour au disquaire du coin, le Ground Zero.

    
       

Je serais intarissable sur le sujet, il y a encore mille lieux et adresses à conseiller, alors à vous d’explorer cet arrondissement riche par sa diversité et ses ambiances différentes...

Portrait #5

 

 

Pour ce 5^ème portrait, nous nous tournons vers Linda, américaine d'origine, qui a vécu à New-York et qui est tombée amoureuse de Paris mais aussi d'un beau Parisien, il y a plus de 25 ans et qui n'a jamais voulu en repartir. Un accent qui lui ouvre souvent plus facilement les portes que nous.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Linda, en quelques mots, ton parcours ? 

Diplomée d'un Bachelor de sciences en Psychologie, j'ai commencé par travailler à NYC, en agence de publicité puis à Paris, toujours dans la publicité. A la naissance de mes trois garçons, j'avais envie d'un nouveau métier. 

J'ai commencé à travailler dans la relocation en free lance puis j'ai découvert le monde de l'immobilier parisien et me suis dit que chasseuse me conviendrait certainement très bien comme nouvelle orientation. 

  

 

 

Comment es-tu devenue "dénicheuse d'apparts" ?

Après 10 ans dans le relocation je cherchais à évoluer vers des missions sur du plus long terme. Un métier dans lequel je pouvais à la fois exploiter mes connaissances du marché immobilier parisien et accompagner les clients… français et aussi étranger, comme moi...

 

D'où viens-tu ?

Americaine, née a Chicago, j'ai été élevée dans le Connecticut. Ensuite, je suis allée à l'université dans l’Ohio puis j'ai commencé à travailler à New-York. 

 

Pourquoi avoir choisi Paris ?

Etudiante, avec mon sac a dos, j’ai fait le tour de l'Europe en deux mois. Quand j’ai visité Paris, coup de foudre immédiat !

Quelques années plus tard, je suis revenue et j'ai eu un deuxième coup de foudre, différent cette fois-ci, puisque j'ai eu mes 3 garçons à la suite de cette rencontre.  

Cela fait maintenant 25 ans que je vis à Paris, et en plus avec la nationalité française !

 

Grâce à ton métier, tu parcours tout Paris en long, en large, et en travers.... mais si tu étais un arrondissement, un seul, tu serais.... ? 

Le 4ème arrondissement car j’adore le Marais, son histoire, ses boutiques, les gens originaux... et en particulier la place des Vosges.

On a presque l’impression de vivre dans un autre temps.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et une rue en particulier ?

 Oh la ! Pleins.. j’adore celles qui longent les squares, et les rues commerçantes comme la rue des  Martyrs, la rue Mouffetard...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si tu étais un parc ou un jardin ? 

 Le jardin du Musée Rodin, jardin intime reposant avec des sculptures en plus ! 

 

  

 

 

 

 

Une boutique ?

 

Comme j’adore tout ce qui sent bon les savons, bougies et parfum je dirai Diptyque.

 

Mon autre magasin préféré pour la maison est La Trésorerie, rue du Château d'eau dans le 10ème arrondissement... le bazar chic et gourmand du 10ème arrondissement.

 

 

 

 

 

 

Un objet déco ? 

 

Mon miroir soleil ! Les rayons de soleil dans mon salon même en plein hiver.

 

 

 

 

Et si tu étais un restaurant ? 

 

Il y en a tellement dernièrement j’ai bien aimé NEVA dans le 8ème arrondissement près d’Europe.

 

 

Et si tu étais un style d'appart? 

Atelier d’artiste sur jardin avec un espace extérieur… lumineux... c’est possible ?

 

 

 

 

 

 

De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière ?

Un plateau dans le 2^ème arrondissement à un prix canon ! Mon client a été très enthousiaste à l'idée de se lancer dans un chantier, ce qui n'était pas vraiment prévu au départ, mais quel résultat magnifique.

 

Et celle qui t'a fait le plus transpirer ?

Les Américains ou Australiens qui viennent à Paris dans le but de trouver un appartement en quelques visites seulement et qui sont souvent très déçus par la qualité des parties communes notamment… mais mission accomplie quand ils rentrent dans leur pays, propriétaire d’un pied a terre parisien !

 

Qu'aimes-tu particulièrement dans ton métier ?

L’excitation quand on voit un bien qui correspond aux besoins de notre client !

On ne sait jamais comment va se dérouler une  journée… une annonce, un appel et hop je saute dans le métro, ou prends un vélib' et je visite… Parfois c'est la grosse déception à cause d’un vis-à-vis trop proche ou une vilaine vue. Des fois c’est le bon, et là quel bonheur !

 

Et si tu devais en changer, tu serais.... ?     

 

 

Psy sans aucun doute… pour parler des attentes dans la vie et apprécier les moments dans le présent.

Trop de frustration et d’exigence à nos jours.

 

Allez, dernière question ! Si tu devais changer quelque chose dans Paris, ce serait.... ?

Une attitude plus positive en général, et plus serviable car l'agressivité ne mène a rien.

Comme ce tag hyper positif…

 

 

 

Et bien entendu, si vous avez un projet d'achat à New York, je serai ravie d'être votre guide et votre conseiller immobilier....

Portrait #3

Pour ce 3e portrait, nous nous tournons vers Olivia, celle qui est architecte de formation, passionnée par le design en général, qui a vécu au Brésil, à Bruxelles, mais qui n'a de coeur que pour Paris.... Elle nous dépasse toutes d'une tête, porte toujours un vêtement flashy (on est fans de son manteau tournesol qui éclaire nos journées de grisaille!), des chaussures qui dénotent par rapport à sa tenue en général...bref un brin d'originalité, toujours de bonne humeur, avec une pugnacité à toute épreuve .... et surtout, un oeil hors pair pour déceler le potentiel d'un bien!

 

Olivia, en quelques mots, ton parcours ? 

Diplômée d’études d’Architecture Interieure et de Design D’environnement à l’école LISAA-IDEA, j'ai fait du design en réalisant des missions dans différentes agences. Au détour d’un chemin, j'ai rencontré une styliste de prêt à porter féminin en pleine explosion qui cherchait quelqu’un pour l’épauler dans la création.Je l’ai accompagnée 6 ans.

Après la naissance de mes filles je suis revenue à mes premières amours, l’archi intérieure, mais pour des particuliers exclusivement.  

 

 

 

 

Comment es-tu devenue "dénicheuse d'apparts"?

Les hasards de la vie encore une fois, une amie me parle de Homelike Home et me dit que la société recherche une nouvelle recrue, avec une sensibilité "volumes et architecture"... Elle me dit que ce job m’irait parfaitement alors j'ai tenté ma chance...Et voilà !

 

D'où viens-tu?

Je suis née au Brésil à Salvador de Bahia, de parents français. Je suis rentrée en France toute petite à Paris dans le 18^ème arrondissement au pied de la butte. J’ai grandi ici !

 

Pourquoi avoir choisi Paris?

Parce que Paris me parle même si j’ai tenté l’expérience ailleurs, Paris c’est chez moi, la plus belle ville du monde ! Parce que je la connais par cœur pour l’avoir arpentée de nuit comme de jour, à pied, à vélo, par tous les temps.

 

Grâce à ton métier, tu parcours tout Paris en long, en large, et en travers.... mais si tu étais un arrondissement, un seul, tu serais.... ? 

Je serais le 9^ème arrondissement, pour moi c’est un arrondissement « clé » qui fait le lien entre le vieux Montmartre et le centre de Paris à la lisière du 2^ème arrondissement, à 2 pas des ambiances totalement différentes de Bourse, Grands Boulevards, Abbesses, Barbès et du 10^ème arrondissement. 

 

Et une rue en particulier?

Arrrfff…dur-dur, il y en a plein mais L’Avenue Frochot dans le 9^ème reste pour moi un endroit à part, j’en rêvais étant petite…

 

Si tu étais un parc ou un jardin?... 

Le jardin du Musée de la Vie Romantique, on peut prendre un thé c’est bucolique à souhait et passé le porche, on est plus à Paris ! 

 

 

 

Une boutique?

On peut tomber tous les jours sur une petite boutique de quartier trop chouette avec une super sélection mais si je veux connaître la tendance du moment, je passe chez L’Eclaireur, Merci, Les Fleurs entre autres… 

 

Un objet déco? 

Une chaise eiffel Eames, la DSW ou la RAW avec piètement en bois, assise en fibre de verre exclusivement, bref une édition de Herman Miller pas avant ni après et dans n’importe quelle couleur, elles sont canons !     

 

 

Et si tu étais un restaurant ? 

Holàlà euh…y’en a plein mais le premier qui me vient c’est La Focaccia, super pizzas italiennes fines, rue Joseph de Maistre côté rue Lepic/abbesses 

Et pour boire un verre, la terrasse du terrass Hotel...

 

Et si tu étais un style d'appart? 

Un duplex 5^ème et  6^ème étage dans un ancien type haussmannien avec un vrai balcon et refait dans le style contemporain… !!

 

 

De toutes tes recherches, quelle est celle dont tu es la plus fière?....

Un achat à distance pour des clients expatriés au Japon, le stress d’acheter un appartement de 5 pièces sans qu’ils l’aient vu jusqu’à 2 mois après la signature définitive. Mais ils étaient ravis !

 

Et celle qui t'a fait le plus transpirer?

Une recherche d’appartement au dernier étage sans ascenseur ! J’ai dû monter 350 étages en 3 mois  et c’était l’été !!

 

Qu'aimes-tu particulièrement dans ton métier?

Le challenge ! Dénicher celui qui remplira tous les critères de mes clients !

On le sait tous, l’appartement idéal n’existe pas, mais on peut s’en approcher de très près. De par ma formation, j’ai l’habitude et une certaine facilité à repérer les biens qui, après travaux, pourront devenir de vrais bijoux, je me projette tout de suite 

 

Et si tu devais en changer, tu serais.... ?     

Menuisière ! Ou fleuriste…

 

 

 

 

Allez, dernière question! Si tu devais changer quelque chose dans Paris, ce serait.... ?

Je réquisitionnerais les immeubles de bureaux vacants que je transformerais en appartements bien sûr !!

 

Le vélo, pas uniquement dans l'air du temps mais tout simplement en l'air...

Levez la tête et arrêtez de regarder vos chaussures quand vous marchez dans Paris...Même si quelquefois c'est risqué de ne pas regarder là où on met les pieds (de plus en plus de chiens à Paris on dirait !!!), il est temps de regarder en l'air et de découvrir l'art urbain à portée de...yeux. 

 

Non non, vous ne rêvez pas, car vous avez peut être eu la chance d'apercevoir ces fameux vélos perchés dans différentes villes !!!

A Montpellier, Paris, Bruxelles mais aussi New York, vous pourrez découvrir des mini-vélos encastrés dans les murs. Depuis février 2012, cet artiste, anonyme, s’amuse à accrocher des avants de petites bicyclettes aux murs de la ville, alors vous aussi, levez les yeux...

 

Parole de parisienne, c'est peut être le bon moyen pour ne pas se faire voler son vélo !